11 Oct UBUD – Nos premiers pas sur Bali
Les vacances au paradis ne pouvant durer qu’un temps, après 5 jours passés sur l’île de Gili Air, il était temps pour nous de prendre la direction de la fameuse et touristique île de Bali, avec un premier stop dans la ville de Ubud !
On l’avoue, on avait plutôt hâte de continuer l’aventure, parce que Gili, c’est super mais on en a vite fait le tour. Et vu que nous ne sommes pas vraiment du genre à nous poser sur la plage tout un après-midi pour faire la crêpe au soleil, on avait plutôt hâte d’aller voir un endroit où ça bouge un peu plus !
Et puis, Bali n’étant pas à majorité musulmane, on caressait secrètement le rêve de pouvoir nous réveiller autrement qu’avec l’appel du muezzin.
Gili – Ubud, le trajet le plus long du monde !
En temps normal, rien ne serait plus banal que de rejoindre Gili à l’île de Bali. Il aurait suffi d’acheter un billet de « fast boat » sur l’île, monter dedans et Hop, le tour est joué ! Nous aurions alors traversé en à peine une heure les 60kms de mer qui séparent les deux îles…
Ouais mais justement, ça aurait été trop facile !
Au moment de notre départ de Gili, le 30 juillet 2018, tous les « fast boats » reliant les deux îles étaient arrêtés, ordre du gouvernement. En réalité, ces bateaux étaient annulés depuis une quinzaine de jours et cet arrêté était repoussé tous les 3 jours depuis cette date…
Officiellement, c’était à cause de la houle en mer, soi-disant trop forte. Pourtant, la mer, on la regardait et elle avait l’air plutôt calme… Même Google nous disait que la houle n’était pas immense, on parlait de moins d’un mètre de vagues ce jour-là. On y connait rien à la navigation mais les « fast boats » nous paraissaient assez grands pour supporter cette difficulté.
Officieusement selon certains touristes qui auraient discuté avec des occidentaux travaillant sur l’île, ce serait parce qu’en pleine saison touristique, le gouvernement veut éviter les accidents dus aux pilotes un peu trop calus, évitant alors de faire parler d’eux sur la scène internationale, comme ça a déjà été le cas il y a quelques années.
On ne saura jamais la vraie raison. Tout ce qu’on sait, c’est que grâce à ça, les îles Gili étaient beaucoup moins fréquentées qu’habituellement (c’est vrai que c’était plutôt vide !) et que ça nous a valu une belle journée de 15h de transport pour parcourir 60km à vol d’oiseau…
L’alternative de transport était de rejoindre Lombok avec les mêmes barques qu’à l’aller (point A, environ 10 min) puis rejoindre le port de Lambar 50km au sud en mini-van (point B, 2h de route), monter ensuite dans un ferry qui nous déposerait à Padang Bay sur l’île de Bali (point C, 4h de navigation) pour finalement rejoindre Ubud en mini-van (point D, 2h de route environ).
Mais ça, c’est la théorie !
En vrai, ça ressemblait plus à :
- On attend 40min qu’on nous appelle pour monter dans la barque, on se fait mouiller jusqu’en haut des cuisses au moment de l’embarquement car la mer ce matin-là est plutôt… agitée !
- On se sert comme des sardines dans la barque sur les bancs de bois trop petits pour nous et nos backpacks,
- On débarque, on casse sa gougoune (sniff !), on marche en claudiquant sur un pied et demi (pas évident de marcher avec une tong cassée !) à la recherche de l’endroit où attendre son mini-van.
Comme pour l’aller, on s’attend à ce que ce soit la confusion totale, et on avait raison : Au moins 3 personnes différentes nous demandent de les suivre, on suit notre instinct et on ne les suit pas! On finit par trouver un Monsieur avec un Tshirt de la compagnie de nos tickets. Du grand progrès ! - On attend un autre 40 min avec pleins de backpackers comme nous. On attend, on attend…
- Tout à coup, vite vite vite ! Il faut courir jusqu’au mini-bus, lancer les sacs sur le toit pour qu’un monsieur les range, se serrer dedans tout en essayant de ne pas se cogner la tête et de rétrécir la taille de nos jambes pour pouvoir les ranger entre les 2 sièges. Nous voilà partis pour 2h de route super confortable… FAUX !
- Débarquement au milieu du parking des ferrys, c’est encore la confusion, personne ne nous indique où se rendre. On attend, on reste groupés !
- Vite vite, vite de nouveau ! On rejoint la salle d’attente des ferrys… On ne devait pas être si pressé que ça finalement car on attend de nouveau…pendant 1h30 !
- On monte dans le ferry, directement par la plateforme, entre 2 camions qui tentent d’embarquer rapidement parce que la plateforme bouge à cause des vagues. La sécurité n’est visiblement PAS leur priorité !
- Enfin ! Nous voilà assis sur le ferry… sur des bancs de bois. Bon, c’est juste pour 4h, on ne va pas se plaindre tout de même !
- Le ferry ne part pas, nous y sommes déjà assis depuis 1h quand le capitaine prend le micro pour nous annoncer un retard de…10h !
What !? C’est quoi ce bordel !? Le ferry se vide de 80% de ses touristes qui, énervés et épuisés, s’en vont prendre l’avion. Nous, on reste, parce qu’on a un budget serré et…du temps ! En plus, le banc est super confo… FAUX !
- Attente de 3h en quai, le bateau part finalement! Waouh, cri de joie ! 4h de mer plus tard, il fait nuit, on voit les lumières de Bali, second cri de joie ! Nouveau message au micro : « le ferry va s’arrêter en pleine mer dans la baie pour attendre notre tour au débarcadère. Attente prévue de 3h. » Aaaaaaaahhhhhhhhh !!!! On s’en rapproche de nos 10h de retard finalement !
- Il faut voir les bons côtés de la chose, on aura eu seulement 6h de retard au lieu de 10! Les 4h qu’on pensait passer sur le banc se sont transformés en 10h, on a encore la trace des planches imprimées sur les fesses !
- A Padang Bay, comité d’accueil pour les touristes. La confusion est encore de mise ici. 3 messieurs différents nous demandent de les suivre, certains nous annoncent un départ dans 1 à 2h. D’autres nous disent qu’ils partent tout de suite, on a vite fait notre choix ! Mais quand on arrive au mini bus en question, il est déjà rempli et le chauffeur nous demande de nous asseoir par terre sur les sacs…
Euh là, c’en est assez, on abandonne l’idée du mini-bus et on prend un taxi, il est 23h et il nous reste 1h pour faire le check-in à notre guesthouse !
Le taxi, avec un peu d’aide sur les directions (merci Google Maps !) nous a amené à bon port et nous avons finalement faire le check-in à 23h58 ! C’est ce qu’on appelle du « juste à temps » !
Avec du recul, c’était une journée plutôt cool qui restera marquée pour longtemps dans nos mémoires. Surtout que ces longues heures passées sur le ferry nous auront permis de faire la connaissance de Lucas -affectueusement appelé L-OU-K !-, Naïke et Micka, tous les 3 français, avec qui nous passerons une bonne semaine de voyage par la suite !
Ubud, ville touristique par excellence
Après un premier dodo bien mérité dans une chambre qui sentait franchement mauvais, nous voilà partis à la découverte des rues et ruelles de Ubud.
La ville est charmante et l’architecture sympathique, dans un style typiquement balinais.
Ornements à l’entrée des propriétés de la ville de Ubud
En plein centre de la ville se trouvent des rizières qui apportent une atmosphère de calme et de sérénité.
Les rues principales sont quant à elles remplies de boutiques et de restaurants pour touristes et grouillent de « blancs dodus ». Très peu d’indonésiens à l’horizon hormis les vendeurs, nous nous demandons presque si nous sommes encore en Asie !
Conseil culinaire de Steven : goûter à la crème glacée à la noix de coco de Ubud, un délice!
La Monkey Forest est l’attraction phare de la ville de Ubud. Parce que nous avions entendus des avis mitigés à son égard, nous avons voulu aller voir de plus près ce à quoi ça ressemblait. Il nous a fallu moins de 3min pour apercevoir un des singes attaquer violemment le sac de plastique d’un passant qui n’avait rien demandé. C’en était assez pour décider de ne pas payer les 50 000Rp de frais d’entrée.
Les singes, c’est mignon tant qu’ils ne sont pas devenus agressifs à cause des gens qui leur donnent à manger !
Les singes de la Monkey Forest en plein centre de Ubud
Escapade en scooter – sans chute cette fois-ci !
Ubud est surtout connue pour ses environs, grandes étendues vallonnées recouvertes de rizières par milliers. Les pousses de riz sont encore jeunes en ce début août, offrant des paysages d’un vert clair et vif, magnifique !
Les routes serpentant au milieu des rizières, au Nord de Ubud, sont aussi larges qu’une voiture mais sont en double sens quand même. Cela serait idéal pour se promener en scooter… si la route était réservée à ces deux roues !! Or, de nombreuses voitures y circulent, rendant la chevauchée assez dangereuse. Mais Cindy, concentrée sur sa route, a cette fois-ci réussi à faire un sens faute, ne nous faisant pas tomber cette fois-ci ! 🙂
La route étroite aux alentours de Ubud
Des rizières, des rizières et… des palmiers, magnifique!
Temple Pura Gunung Kawi Sebatu
Il y a plusieurs temples aux alentours de Ubud, la plupart étant assez proches et donc accessibles en scooter. Nous avons choisi le Pura Gunung Kawi Sebatu car il n’était pas trop loin d’Ubud et semblait ne pas être trop touristique. Nous nous y sommes rendus en compagnie de Naïke et Micka.
Avec Naïke et Micka, tous revêtus de nos magnifiques sarongs, obligatoires pour accéder au temple.
Le temple était pas mal ! C’était notre premier temple balinais, de quoi en apprécier l’architecture sereine, avec ses bassins de carpes et ses petits autels colorés.
Les rizières de Tegallalang – le site le plus instagrammé de Bali
Quand vous pensez aux images de Bali sur Instagram, vous avez certainement en tête l’image d’une jeune femme, de dos, assise sur une balançoire, faisant face à de magnifiques terrasses de rizières sur un terrain escarpé. En tout cas, nous, c’est l’image qu’on en avait!
Ce site tant photographié, on devait aller le voir de nos propres yeux ! On nous avait prévenus qu’il y aurait du monde sur cette attraction devenue méga touristique, et ce fut le cas !
Qui dit touristes dit bien sûr restaurants et magasins de souvenirs à tout va ! Telle est la réalité du site, pas si idyllique que ça…
Tagallalang, l’envers du décor
En plus du « billet » d’entrée dans les rizières de 15 000 Rp (qu’un monsieur random vous demandera de payer dans la rue), des locaux ont créé des barrières de péages à plusieurs endroits dans les rizières où nous devons laisser un billet si nous voulons aller plus loin… Parfois c’est soi-disant pour l’entretien du pont qu’on vient de traverser, parfois pour dédommager les fermiers à qui appartiennent les terres.
Et ne croyez pas que vous pourrez faire la même photo que les instagrammeurs gratuitement ! Des enfants attendant proche des balançoires vous rappelleront qu’il faut payer pour pouvoir s’y asseoir !
Si les sommes demandées ne sont pas énormes, c’est assez frustrant pour nous de nous faire demander de l’argent sans cesse au cours de notre visite alors qu’un billet d’entrée est vendu et cela nous a vite énervé !
Par chance, leur petit manège n’a pas duré trop longtemps et nous avons pu profiter pleinement de la visite, au calme, dans les sections un peu plus hautes des rizières. L’occasion pour Steven de capturer de belles images…
Ascension du Mont Batur au petit matin
Pour notre 3e journée sur Bali, nous avions décidé de faire l’ascension du Mont Batur avec Lucas, Naïke et Micka. Le Mont Batur est un volcan encore actif situé à l’ouest du grand et puissant Mont Agun dont la dernière éruption remonte à 2017.
Le but de l’excursion était de faire l’ascension de nuit pour assister, à son sommet, au lever du soleil. Ça, c’est la théorie. La météo n’en avait point décidé ainsi…
Le matin de l’excursion, réveil à 1h45 du matin pour prendre la route à 2h avec un chauffeur qui, dans une autre vie, devait être pilote de rallye ! Plus nous montions en altitude, plus le brouillard devenait épais et plus notre chauffeur roulait vite… Il n’en avait pas grand-chose à faire de nos : « vous devriez ralentir peut-être !? ».
Par miracle, nous sommes arrivés entiers au camp de base de l’agence de trekking. Le problème est qu’il pleuvait plutôt fort, faisait à peine 10°C et nous n’étions pas du tout équipés pour ces températures.
Avec Naïke, nous voulions renoncer à la montée. Les gars eux, étaient motivés. Finalement, ils ont réussis à nous convaincre d’y aller !
Après avoir acheté les sacs plastiques censés nous protéger de la pluie les plus chers de la planète (5$ CAD !), nous voilà partis avec notre guide du jour, lampes frontales sur la tête, sur les sentiers terreux, caillouteux et escarpés du Mont Batur, il est 4h du matin.
Bon, notre guide (qui avait 17 ans et montait la montagne en Air Max !), il était bien gentil mais il n’a pas servi à grand-chose car, très vite, nous nous sommes retrouvés à la queue leu-leu sur le sentier avec le millier d’autres touristes qui faisaient l’excursion en même temps que nous. Pour l’intimité, le silence et l’authenticité, on repassera !
Des paires de fesses, on en a vu des tonnes (et oui, les filles montent en mini-short par 10°C !), c’est la seule chose à proximité que nos frontales éclairaient ! Ça faisait un peu montée aux flambeaux notre affaire avec, en prime, des embouteillages en plein milieu de la montagne. Bref, ça faisait rêver… FAUX !
Si toi aussi tu rêves de faire une ascension d’un volcan avec pleins pleins pleins de gens, vas au Mont Batur!!
Au sommet, on sentait bien que le jour voulait se lever, mais le brouillard épais et humide a décidé qu’on resterait là, frigorifiés, à ne rien voir.
Cindy et les autres touristes, frigorifiés, attendent dans le brouillard!
Programme oblige, on devait respecter l’horaire et ce dernier disait qu’on devait rester 1h30 au sommet pour prendre notre petit déjeuner dont on se serait bien passé pour redescendre plus vite.
Cindy a dû trop se plaindre car le ciel a finalement pris pitié de nous… Le ciel s’est tout à coup dégagé pour laisser place au magnifique lever de soleil… pendant 30 secondes ! Waouh ! Nous ne sommes pas montés pour rien !
Le temps de prendre quelques photos et de repérer où nous nous trouvions dans l’espace par rapport au cratère du volcan, nous revoilà déjà dans le brouillard, qu’on ne quittera pas jusqu’à notre redescente au parking.
Avant de redescendre, notre guide nous a menés proche du cratère du volcan (que nous n’avons bien sûr pas vu à cause du brouillard), d’où s’évadent des fumées d’air chaud, preuve que le magma en fusion ne se trouve pas bien loin sous nos pieds.
Telle une rencontre inattendue, des singes sauvages et plutôt intimidants viennent nous y rendre visite. Un beau moment.
Avec notre jeune guide lors de la descente, le brouillard ne nous quitte pas.
En bas, nous apprécions enfin le paysage et ses décors de lave (à droite sur la photo de droite).
La « dream team » au grand complet, fiers de notre accomplissement (Naïke, Micka, nous et L-OU-K)!
Spectacle de danse balinaise
Pas de répit pour les touristes que nous sommes! A peine redescendus du volcan, et après une petite sieste bien méritée, nous voilà repartis en quête de notre prochaine activité. Nous voulions assister à un spectacle traditionnel de danse balinaise comme il y en a plusieurs à Ubud. Le plus dur était de trouver quel spectacle aller voir !
Naïke et Micka ont choisi pour nous et c’est tous les 5 que nous avons assistés au spectacle Kecak Fire and Transe dance au temple Pura Sateh.
La petite scène du spectacle
Alliant danses balinaises tout au ralenti-les danseuses dansent même avec les yeux !-, chant d’hommes traditionnels et marcheur dans le feu (l’acte un peu étrange de la fin), nous en avons pris plein les yeux pendant 1 heure.
Ne nous demandez pas de résumer l’histoire racontée, on n’a pas tout compris mais ce fut pour nous une découverte intéressante qui nous restera en mémoire.
Voilà qui termine notre dernière soirée passée à Ubud. Nous prenons la route en taxi le lendemain avec le reste de la « Dream Team » direction la petite ville de Amed, à l’extrémité Nord-est de l’île.
On vous raconte notre séjour là-bas tout en émotion dans un prochain article !
CONSEILS PRATIQUES
OÙ DORMIR À UBUD ?
- I Gusti Nyoman Oka Homestay : Dans une propriété au jardin typiquement balinais, la famille vous accueille dans leur homestay. Le grand père est très gentil, la grand-mère un peu blasée de la vie et la petite fille vous fera des bisous de main à tout va! Le prix était vraiment bon marché pour la localisation (Prix 150 000 Rp=13$CAD/ nuit pour une chambre double, petit déjeuner inclus). A 5 min à pied de la rue piétonne où se trouvent tous les restos sympas de la ville.
La chambre n’est pas de première fraîcheur et il y régnait une odeur écœurante mais pour le prix, cela valait la peine de s’y habituer. Le petit déjeuner est simple et est servi dans leur petit « café » situé sur la propriété.
Location possible de scooter (Prix : 60 000Rp/ jour, pas d’assurance) et vente d’excursions (mais nous ne l’avons pas prise chez eux).
OÙ MANGER À UBUD ?
- Warung Biah Biah : Super petit resto traditionnel balinais, il propose des plats originaux et surtout succulents, ça fond littéralement dans la bouche. C’est un des resto les mieux noté de la ville et il n’est pourtant vraiment pas cher. Cela vaut la peine d’y faire la file à l’entrée. Nous y sommes retournés 2 fois! Situé centralement dans la rue qui devient piétonne en fin de journée.
- Warung Bernadette : Situé dans la même rue piétonne que le restaurant précédent, on vous sert des plats locaux dans une ambiance originale. Les murs et plafonds sont recouverts de pièces d’art plus ou moins de bon goût qui sont toutes à vendre. L’accueil est sympathique mais la bouffe moins bonne que le Warung Biah biah! Les prix sont quant à eux un peu plus élevés.
COMMENT SE RENDRE ET SE DEPLACER DANS UBUD ?
- Depuis Gili Air, le trajet long (barque + mini-van + ferry + mini-van) nous a coûté 250 000Rp=21.50$CAD/personne. Billet achetable auprès d’un des multiples bureaux touristiques sur l’île. Les prix diffèrent légèrement d’un bureau à l’autre car ils ne vont pas tous affaire avec les mêmes agences. Nous n’avons pas vraiment d’agence à vous conseiller, selon nous elles sont toutes aussi bordéliques! 🙂
- Une fois à Ubud, la visite des environs se fait en scooter que vous pouvez louer via votre homestay ou bien à divers endroits dans la ville. Compter environ 60 000 Rp=5.15$CAD /jour pour une location sans assurance.
ACTIVITÉS A UBUD ?
- Monkey Forest (que nous n’avons pas visitée) : Prix d’entrée 15 000Rp = 1.30$CAD/personne.
- Temple Gunung Kawi Sebatu : Accessible depuis Ubud en scooter en une vingtaine de minutes. Très joli temple sans trop de touristes. Se visite très vite. Prêt de sarongs à l’entrée si vous n’en avez pas. Prix d’entrée :15 000Rp = 1.30$CAD/personne ; parking surveillé payant : 2000Rp = 0.15$CAD/ scooter (de mémoire).
- Rizière en terrasse de Tegallalang : Situées à une vingtaine de minutes de Ubud en scooter, c’est un lieu qui est devenu incontournable quand on est de passage à Ubud. Parking normalement payant pour les scooters, sauf si comme nous vous vous garez le long du trottoir comme le font des centaines d’autres personnes. Billet d’entrée de 15 000Rp = 1.30$CAD/ personne mais vous serez amenés à faire d’autres donations le long du chemin pour aller plus loin. C’est un site sympa mais plus on monte, plus c’est calme. Décor et paysages apaisants. Les restos avec vue sur les rizières ne sont pas donnés, c’est normal.
- Ascension de nuit du Mont Batur pour observation du lever de soleil : Nous avons effectué l’ascension avec la compagnie Pineh Bali Private tours car elle nous a été présentée par l’agence touristique comme la meilleure… Nous sommes assez partagés sur la compagnie. Elle a fait le travail mais le guide n’était pas vraiment très loquasse, petit déjeuner au sommet plus que léger et les boissons chaudes sont gracieusement offertes au prix astronomique de 30 000Rp = 2.60$CAD, ce qui est le double du prix normal!
Au retour, arrêt dans l’exploitation de café de la compagnie, dégustation de leur café (plutôt pas bon) et forte incitation pour que nous en achetions, nous avons dû réclamer pour avoir l’encas promis sur le programme. C’était donc bien rodé mais nous sommes mitigés sur la prestation du service offert. Prix de l’excursion : 300 000Rp=26$CAD/personne, 2 petits déjeuners inclus, trek avec guide et transport aller-retour jusqu’à notre hôtel. - Spectacle de danse balinaise : Nous avons assisté au spectacle appelé Kecak Fire and Trance danse qui se donnait au temple Pura Puseh. Billets en vente directement au temple et surement auprès des homestays, il faut arriver 45min en avance pour avoir de la place et ne pas être assis dans le décor (Prix : 75 000Rp= 6.50$CAD/personne). A voir une fois, celui-ci ou un autre car c’est traditionnel, bien que clairement fait pour les touristes. 🙂
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