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Cusco et la vallée sacrée des Incas

30 janvier 2019 – Après une journée en bus pour traverser cette première partie du sud du Pérou depuis Puno, nous sommes arrivés à destination en fin de journée: la ville de Cusco!

Les rues du vieux Cusco sont très étroites et les voitures ne peuvent pas se croiser. Avec tout le mal du monde, notre taxi finit par nous déposer à l’entrée de l’une des meilleures auberges de jeunesse de tout notre tour du monde : L’auberge La Bo’M!

Le lieu et sa propriétaire, Sarah, furent un gros coup de cœur! En effet, la déco est super sympa, l’accueil est chaleureux et en plus, il y a un restaurant crêperie à l’étage. Et c’est sans parler des crêpes gratuites et illimitées servies au petit-déjeuner! Il n’en fallait pas plus pour nous séduire.

Dans les chambres, on a droit à une copie de Tintin et le temple du soleil, un joli clin d’œil à la région pour se plonger dans les aventures péruviennes du personnage d’Hergé. Dans cette BD on découvre que le capitaine Haddock semble apprécier le Pisco, la boisson nationale!

Cusco – l’ancienne capitale Incas

Premier jour en ville, la pluie tombe fort et le confort de l’auberge La Bo’M nous invite à rester à l’abri pour nous reposer mais nous devons quand même sortir pour aller prendre des renseignements pour le Machu Picchu.

Sur le chemin pour s’y rendre, nous faisons un arrêt pour visiter le musée de la coca. Il n’y a pas qu’en Bolivie que cette plante est consommée, au point qu’un petit musée bien médiocre lui est consacré ici. Franchement, vous pouvez passer votre tour. Le musée est assez vieillot et mal fait. On n’en gardera pas un souvenir impérissable! 🙁

Nous continuons vers la place centrale de Cusco où se situent deux immenses églises. À tous les coins de rue, des vendeurs de souvenirs et des femmes qui proposent des services de massage nous interpellent. On se croirait de retour au Vietnam et ça a de quoi nous taper un peu sur les nerfs!

L’architecture de la partie historique de la ville dans laquelle nous nous trouvons est un mélange de vestiges incas et de constructions de l’époque coloniale. Quelques bâtisses ont d’ailleurs conservé les fondations initiales avec les énormes roches taillées par les Incas.

Notre ballade humide dans les rues du quartier San Blas se terminera au café Qura, où nous en profitons pour discuter des cultures caféières de la région avec le jeune propriétaire des lieux : Bill Clinton (oui oui, il s’appelle vraiment comme ça!).

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cindy trait de fraction pérou cusco

Le coeur historique de Cusco

Ruben’s café et cafés péruvien

Après la rencontre avec Clinton du café Qura, nous avons poursuivi notre lancée dans la découverte passionnante du monde du café avec la rencontre de Ruben, qui tient d’ailleurs le Ruben’s café en ville! C’est Sarah, la propriétaire de l’auberge La Bo’M, qui nous a mis en contact avec lui, puisqu’il est son torréfacteur et fournisseur de café pour le restaurant.

Depuis notre passage à Dalat au Vietnam au mois de juin l’an dernier, puis notre excursion à Coroico en Bolivie dans la vallée des Yungas, on s’est découvert une affection particulière pour ces petits grains que l’on connait si mal finalement.

Après une première rencontre avec Ruben à l’auberge, et même si on en a bavé un peu pour se comprendre à cause de son espagnol rapide et à l’accent marqué, nous nous sommes donnés rendez-vous à son café le lendemain matin pour goûter à ses produits.

ruben café cusco pérou

Dans son café, Ruben, qui a commencé dans le domaine du café comme réparateur de vieilles machines à espresso, est fier de nous montrer sa vieille machine à Espresso Gaggia, importée d’Italie et arborant un magnifique dôme en cuivre.

Il nous montre sur une carte de la région où sont cultivées les plantations qu’il torréfie ensuite lui-même. C’est malheureusement un peu trop loin pour que nous puissions aller les visiter pendant notre séjour, et de toute façon ce n’est pas une très bonne saison pour s’y rendre à cause de la pluie.

Après avoir sympathisé avec Ruben, il nous a proposé de nous montrer ses installations pour la torréfaction. Une telle invitation ne se refuse pas! Nous voilà donc partis avec lui, à bord de son gros pick-up, dans un quartier populaire de Cusco, au sud-ouest de la ville. Ici, plus aucun touriste mais des locaux chargés de leurs trouvailles au marché, rentrant chez eux le long d’une route qui n’est même plus asphaltée. Le changement d’ambiance est total.

Les installations de Ruben pour la torréfaction sont modestes et se trouvent au rez-de-chaussée de sa maison. Un de ses employés est affairé à sa tâche. La torréfaction du jour n’est visiblement pas prévue pour tout de suite. Notre présence change les plans et tout est rapidement mis en place pour qu’on puisse assister à l’ensemble du processus.

Sa machine à torréfier n’est pas bien grande mais il arrive à produire suffisamment de café pour ses clients. Nous participons à une torréfaction avec lui et regardons les grains de cafés cuire lentement dans le tambour de la machine. On trouve que son café est un peu torréfié trop sombre à notre goût par rapport à ce que nous avions pu voir lors de nos expériences passées (le goût étant alors un peu trop fort), mais c’est une opinion toute à fait personnelle.

Quelque soit le goût de son café, Ruben fut l’une de nos plus belles rencontres au Pérou et nous le remercions chaleureusement d’avoir pris du temps avec nous pour nous expliquer son savoir faire et sa passion!

café cusco malika ruben

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Pisac – ses ruines et son marché

Cusco est un point de départ idéal pour explorer les contrées alentours et ses beaux témoignages de l’époque Inca.

Pisac est l’un de ces petits villages facilement accessibles à la journée depuis Cusco, qui nous permet de faire un bon dans le passé.

Pour rejoindre Pisac depuis Cusco, rien de plus simple: il y a un terminal avec plein de collectivos (des taxis collectifs) qui partent dès qu’ils sont pleins. Dès que l’on arrive dans la rue en question, impossible de ne pas trouver ce qu’on cherche, puisqu’on se fait harceler à grands coups de « Pisac?! Pisac?! Pisac?! ».

Au final, ce qui nous aura pris le plus de temps n’est pas de trouver notre bus mais plutôt de connaitre le prix du trajet! Il aura fallu redemander 4 fois la question au petit monsieur car tout ce qu’il nous répondait, c’était de monter dans sa voiture !

Pour une fois, notre chauffeur a conduit relativement calmement. Heureusement car Steven était collé à une petite cholitas toute en chair, avec ses tresses et son chapeau. Disons que nous n’avions pas beaucoup de places, tous serrés là-dedans.

Arrivés à Pisac, nous partons nous promener dans les ruelles autour de la place centrale où se trouve un grand marché artisanal. Bon, on va calmer les ardeurs immédiatement: quand on parle d’artisanat, c’est une fois de plus un ramassis d’objets tous plus identiques les uns que les autres, certainement fabriqués à la chaîne dans la ville de Juliaca, ou qui sait, peut-être même en Chine!

D’ailleurs, nous sommes les deux seuls touristes au milieu du marché (le village semble désert). Les vendeurs tentent le tout pour le tout et tentent de nous faire repartir avec leur seule vente de la journée à grands coups de « Buen precio, Buen precio! »!

Buen precio sûrement, si nous étions venus pour ça, il y aurait eu moyen de faire fonctionner la concurrence. Malheureusement pour eux nous n’avions pas comme projet de ramener des souvenirs…

Comme d’habitude quand on se fait harceler sur les marchés, on a adopté notre technique du « regarde de loin et ne t’arrête surtout pas », en continuant d’avancer sans cesse.

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Finalement, la seule chose qu’on aura acheté ce jour-là, est une magnifique petite peinture du Machu Picchu, trouvée dans une librairie alors que nous y cherchions… des cartes postales ! Coup de cœur total en la voyant! Peinte la veille par le propriétaire des lieux, il fut d’ailleurs très émotif de la voir partir puisque c’était la première acrylique qu’il vendait depuis l’ouverture de son nouveau magasin il y a 2 mois!

Cela nous a valu une intéressante discussion avec lui et une belle photo souvenir de notre rencontre avec ce monsieur vraiment touchant!

artiste pisac pérou

Non, la petite peinture ce n’est pas celle derrière nous sur la photo…

Parce que le magasinage creuse l’appétit, nous nous sommes arrêtés prendre quelques succulentes empanadas à un Monsieur qui les faisait cuire dans un immense four. A coté du four, un restaurant local servait ses clients sur des tables côtoyant une maison pleine de « cuyes », des cochons d’inde qui finiront bientôt, les 4 pattes écartées, écrasés dans une assiette!

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À l’entrée du village, nous trouvons un taxi pour rejoindre le haut du site archéologique de Pisac. 20 minutes de route plus tard, nous explorons les ruines de l’ancienne cité Inca. La vue sur les anciennes culture en terrasse est impressionnante et on voit loin de chaque côté sur les vallées environnantes. Le site est propre et on peut longer toute la colline pour découvrir les constructions en briques rouges. Pour ne pas vous perdre sur le site, on vous conseille de prendre votre téléphone et l’application Maps.Me, c’est bien pratique!

Nous décidons de rejoindre le centre de Pisac à pied depuis les ruines, avant l’arrivée de l’orage que l’on entend gronder plus loin dans la vallée. Les nuages sont vraiment menaçants et il ne faudrait pas se retrouver bloqués par la pluie.

pisac site pérou ruines[vc_row][vc_column width=’1/2′]pisac site pérou ruines[/vc_column][vc_column width=’1/2′]pisac site pérou ruines[/vc_column][/vc_row]pisac site pérou ruines terrasses[vc_row][vc_column width=’1/2′]pisac pérou ruines[/vc_column][vc_column width=’1/2′]pisac site pérou ruines[/vc_column][/vc_row]pisac pérou péruvienne

Le retour à Cusco se fera dans un collectivo bondé, avec trois enfants sur les genoux de leur maman!

De Cusco à Ollantaytambo en privatisant un taxi

Pour rejoindre Ollantaytambo, où nous prendrons ensuite le train en direction du Machu Picchu, nous avons décidé de privatiser un taxi pour la journée. C’était l’option la plus intéressante pour profiter au complet de la vallée et pouvoir s’arrêter le temps que l’on voulait sur la route. En plus, notre billet circuito II acheté la veille à Pisac nous permet de visiter plusieurs sites historiques de la vallée de l’Inca mais qui ne sont pas forcément desservis par du transport en commun. 

Malgré un chauffeur antipathique et dangereux (il regardait un film sur YouTube en conduisant!!), nous ne regrettons pas notre choix d’avoir opté pour un taxi privé.

Premier arrêt dans une filature, où l’on en apprend un peu plus sur le travail de la laine de lama et les teintures naturelles utilisées pour colorer les tissus. C’était un arrêt un peu imposé par le chauffeur, qui n’avait d’autre but que de se faire une petite commission sur les ventes potentielles… On vous avait prévenu depuis le début que le Pérou avait des relents d’Asie du Sud-Est… 

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Quelques dizaines de kilomètres plus loin, nous arrivons au site archéologique de Chinchero, avec ses restants de ruines et sa grande église blanche où se déroulait, au moment de notre visite, l’inventaire des objets religieux du site, sous l’œil attentif des villageois. Comme à Pisac, les ruelles pavées sont magnifiques et sont parcourues de petits canaux au sol pour l’écoulement des eaux qui prennent la forme de losanges aux intersections de rues : esthétique et pratique!

pérou chincherro[vc_row][vc_column width=’1/2′]pérou vallée inca cusco[/vc_column][vc_column width=’1/2′]pérou terrasse incas[/vc_column][/vc_row]église chincherro pérou[vc_row][vc_column width=’1/2′][/vc_column][vc_column width=’1/2′][/vc_column][/vc_row]

On continue avec notre chauffeur (qui tire la gueule!) jusqu’au site de Moray, où de grandes terrasses agricoles forment des cercles concentriques. Chaque niveau, d’une hauteur approximative de 2 m, est accessible par des escaliers dont les marches sont directement incrustées dans les murs. Un bassin situé en haut du site retenait l’eau nécessaire aux cultures. Des canaux apportaient l’eau sur chaque niveau par l’intermédiaire de rigoles creusées dans la pierre.

Les terrasses ont été creusées en suivant les courbes naturelles du paysage. L’épaisseur des murs emmagasine la chaleur durant la journée et la diffuse la nuit. Plutôt ingénieux!

moray pérou vallée inca[vc_row][vc_column width=’1/2′]moray trait de fraction pérou[/vc_column][vc_column width=’1/2′]moray pérou[/vc_column][/vc_row]

Le troisième arrêt se fait aux Salinas de Moray. Rien à voir avec les salinas grande en Argentine ou le salar d’Uyuni en Bolivie! Ce site est creusé et façonné avec des murs en pierre, formant un ensemble de centaines de bassins pour récolter le sel issu de la source d’eau salée qui sort de la montagne. En nous arrêtant un peu avant l’entrée du site, nous avons pu voir l’ampleur de cette installation.

De plus proche, comme on se trouve en pleine saison des pluies, il n’y avait presque pas d’activité. Cependant, nous avons pu voir quelques travailleurs se charger avec des sacs de plusieurs dizaines de kilos et marcher en équilibre sur les étroits sentiers entre les bassins! Sans parler des hommes et des femmes en contrebas qui trimbalaient des grosses pierres sur le dos pour la réparation de certains bassins. De quoi relativiser sur nos conditions de travail…

salinas moray vallée inca pérou[vc_row][vc_column width=’1/2′]salinas moray vallée inca pérou[/vc_column][vc_column width=’1/2′]salinas moray vallée inca pérou[/vc_column][/vc_row]salinas moray vallée inca pérou

Pressés de nous débarrasser de notre abruti de chauffeur dont nous avons hâte de nous débarrasser à la fin de la journée, nous lui avons demandé de nous amener jusqu’à la place de Ollantaytambo et de partir. De là, nous avons pu rejoindre à pied notre auberge pour la nuit afin d’y déposer nos sacs. On y a eu là-bas aussi un accueil des plus médiocres, histoire de bien continuer la journée! Disons que nous aurons traversé des pays avec des gens plus agréables qu’au Pérou, dans son ensemble…

Nous partons visiter nos dernières ruines de la journée. 🙂 Bon, ce sont encore des cailloux et des terrasses semblables à ce que nous avons vu jusqu’ici mais il est toujours aussi impressionnant d’y observer la taille gigantesque des pierres taillées et acheminées sur les hauteurs à l’époque, par les Incas. Difficile d’imaginer avec quelle prouesse ils faisaient ça, alors même que la roue n’existait pas encore! Certains blocs ont été taillés avec des petites poignées, mais tout de même… Ils devaient être sacrément forts! 
Du sommet des ruines, on bénéficie une nouvelle fois d’une incroyable vue sur la vallée.

Il faut savoir que Ollantaytambo est la seule ville au Pérou où les bâtiments actuels sont construits directement sur les anciennes démarcations Incas. Cela fait en sorte que les rues et ruelles sont toutes pavées, très étroites, et qu’on y trouve encore des canaux ouverts permettant d’acheminer l’eau potable en ville.

ollantaytambo pérou vallée inca[vc_row][vc_column width=’1/3′][/vc_column][vc_column width=’2/3′][/vc_column][/vc_row]

C’est ainsi que se termine notre court séjour dans la vallée de l’Inca. Ollantaytambo fut notre dernière étape avant de prendre le train pour nous rendre à Aguas Calientes d’où nous partirons à pied jusqu’à la légendaire cité Inca du Machu Picchu. Toute une aventure!

On vous laisse avec quelques images prises sur la route.

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salinas vallée inca pérou

CONSEILS PRATIQUES

OÙ DORMIR À CUSCO ?

  • La Bo’M : L’auberge de jeunesse ultime! C’est de loin l’une des meilleures adresses de tout notre tour du monde. Un accueil chaleureux, une belle décoration, un personnel super sympa et Sarah, une propriétaire hors du commun, française d’origine, qui a tout quitté pour créer son projet au Pérou. On a pu discuter longuement avec elle et elle nous a vraiment inspirés. Elle a su créer une auberge à son image, en y mettant tout son cœur. Crêpes au petit déjeuner, oui oui des vraies bonnes crêpes! Et en plus à l’étage il y a une crêperie!  Bref, si vous logez à Cusco, venez ici! On a pu y laisser nos sacs quand nous sommes allés au Machu Picchu. (Prix : 32 CAD / nuit en chambre double avec salle de bain partagée et petit déjeuner).

OÙ MANGER À CUSCO ?

  • La crêperie de l’auberge La Bo’M: Un grands choix de crêpes avec des ingrédients locaux, des crêpes desserts décadentes et un personnel chaleureux. Une bonne adresse!

  • Qura : il y a un restaurant et un café qui porte le même nom. Le restaurant sert de délicieux plats végétariens, beaux et raffinés. Quant au café, vous y serez certainement servis par l’incroyable Bill Clinton! Un gars passionné par son café et qui pourra vous en apprendre plus sur la croissance de cette plante dans la région.

  • Chakruna Native Burgers : des hamburgers de qualité, avec un grand choix de sauces faites maison. Les prix sont vraiment abordables. Encore une adresse tenue par une française mais qui fait du bien au moral!

Visiter la vallée de l’Inca

  • De Cusco à Pisac: prendre un collectivo en ville. Toutes les auberges de la ville pourront vous indiquer où ont lieu les départs. C’est pas cher et en moins d’une heure vous serez à Pisac (4 soles = 1.6 $CAD/personne pour un aller, environ 45min de trajet)

  • Visiter la vallée de l’Inca: vous pouvez soit prendre un bus plein de touristes, soit privatiser un taxi à la journée (l’option la plus intéressante à notre avis, surtout si vous êtes plus que deux voyageurs). Pour un taxi privé, comptez environ 170 soles = 65$CAD pour environ 5-6h avec chauffeur, de Cusco à Ollantaytambo. Demandez à votre auberge qu’ils vous réservent un taxi pour le jour de votre choix.

OÙ DORMIR À OLLANTAYTAMBO ?

  • Hostal Andenes : Un accueil glacial mais c’était l’hébergement le moins cher en ville. Nous sommes restés dans un dortoir de 8, mais nous n’étions que tous les deux! Les chambres sont propres. Apportez votre papier toilette, il n’y en n’a pas dans les toilettes… (Prix : 10 USD = 13 $CAD / nuit / personne en dortoir avec salle de bain commune et petit déjeuner).

OÙ MANGER À OLLANTAYTAMBO ?

  • Apu Veronica : Tout près du site archéologique de la ville, le petit restaurant familial à l’étage sert une cuisine péruvienne simple et fraîche. L’occasion de savourer une délicieuse Chicha Morada.

  • Kori Quinua : un peu en retrait de la place principale. Ce n’est pas délicieux… On est ressorti en ayant encore faim, pour finalement aller acheter un Snickers en guise de dessert… 


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